La Toupie 
 
Site sans publicité, ni cookies, ni IA
 
L'abus d'images animées est dangereux pour le cerveau
(Les objets temporels)




Un banal contrôle routier révèle un secret d'Etat impliquant le...

La citation du mois
(Historique)
"Le leader populiste dénonce toujours un système dont il est lui-même issu."
Matthieu Suquière
Qui sommes-nous ?
Questions/Réponses
Contact
Contribuer à La Toupie
La Toupie  >   Toupliographie   >   Le mépris du peuple : Comment l'oligarchie a pris la société en otage.


 Toupliographie 

La bibliographie de la Toupie

Le mépris du peuple : Comment l'oligarchie a pris la société en otage.

Jack Dion

Editeur : Les liens qui libèrent, Paris

2015 - 160 pages - 15,50 euros*
ISBN-13 : 979-1020901804


Présentation de l'éditeur :

Mais pourquoi ont-ils fait disparaître le peuple ? Tel est le fil rouge du livre de Jack Dion, intitulé Le mépris du peuple. Dans un pays qui se réclame des droits de l'homme et du citoyen, et dont l'histoire est celle des révoltes populaires, le peuple pointe aux abonnés absents.

Il est banni des sphères d'un pouvoir régi par l'entre-soi de caste. Un système de monarchie républicaine permet de gouverner en ne représentant qu'une infime minorité du pays et en faisant le contraire de ce qui avait été annoncé. Au terme d'une épuration sociale passée inaperçue, il n'y a quasiment plus d'ouvriers sur les bancs de l'Assemblée Nationale. Dans les entreprises, où règnent les oligarques du CAC 40, les salariés sont exclus de toutes les prises de décision. Dans les médias, on ne parle d'eux que pour les dire rétifs aux "réformes" inévitables qu'impose une "loi du marché" devenue la nouvelle Bible.

Désormais, une "prolophobie" sournoise a droit de cité. Tout ce qui vient de la France d'en bas est suspect, non digne de considération, voire subversif. Même la notion de souveraineté populaire est jugée attentatoire à la nouvelle doxa. Dans la bouche des représentants de l'élite, le mot "populisme" est devenu l'injure suprême, comme si le simple fait d'écouter les voix d'origine populaire était un crime contre l'esprit.

Quant à la France, elle est sommée d'oublier son histoire, sa spécificité, son originalité, pour s'aligner sur la mondialisation sans rivage édictée par les grands prêtres de l'Union Européenne, pour qui les nations n'existent plus.


Jack Dion est directeur adjoint de la rédaction de Marianne. Il est co-auteur, avec Martine Bulard, de "L'Occident malade de l'Occident" (Fayard 2009), de "Sur la piste des grandes fortunes" avec Pierre Ivorra (Messidor, 1985) et de "Sur la piste des patrons" avec Pierre Ivorra, (Messidor, 1987).




(*) Le prix est indicatif. Il a été relevé à un instant donné et peut varier dans le temps ou selon les rééditions. A confirmer auprès de votre distributeur habituel.


Accueil     "Toupliographie"     Haut de page     Contact   Licence CC