Transformer les actions en obligations à taux variable et remettre le pouvoir décisionnel aux employés comme si chacun était actionnaire, dont le "capital travail" investi dépendrait de son ancienneté... A son départ de l'entreprise (retraite, fin de CDD, licenciement,...), le travailleur est considéré comme ayant apporté un capital et bénéficie d'une rente viagère a valeur variable dont la valeur dépendrait de sa durée de travail dans l'entreprise ainsi que des performances annuelles de cette dernière
Morceler les multinationales afin de rendre le travail personnel plus important dans l'entreprise (mon travail représente 1/200eme de l'entreprise pas 1/1.000.000eme ...) ainsi en travaillant plus chacun verrait l'impact sur son porte monnaie
Puis rendre la solidarité... honnête. La remettre aux mains des travailleurs afin qu'ils puissent décider eux même de combien ils donnent, à qui pourquoi, et se lors de l'assemblée générale (des employés de l'entreprise)... Ainsi la solidarité ne serait plus sujette a des enjeux importants (à qui on achète la soupe -par exemple- a moins d'importance quand il s'agit d'aider 100 personnes qu'a l'échelle d'un état ; la répartition des aides se fait plus finement pour un département que pour un état ; . ) et plus vraie. On ne verse pas des impôts à l'état qui donne trop peu à son voisin d'en face au chômage depuis 10 ans et bien plus à untel qui profite du système. On voit se qu'on est près à donner à son voisin et tant pis pour les profiteur, pas moyen de travailler 6 mois par an et de gagner autant que les autres.
Idem pour l'école, afin d'éviter les dérives, un socle commun semble nécessaire, mais une structure modulable selon les souhaits de élèves et des enseignants financée en partie par l'Etat, en partie par. les dons (des entreprises, des familles,.) !
leamas, 02/07/2010
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